• 1ère fête de l’Eternel : Pessah
    La Paque (ou Pessah) signifie passage, faisant allusion au passage de l’Eternel pour un jugement sur l’Egypte, tandis qu’Israël a été épargné à cause du sang placé sur les linteaux et les poteaux de leur maison, selon l’ordre de l’Eternel (Exode 12). Un évènement extraordinaire Pâque fut un événement extraordinaire pour Israël : libération de l’esclavage par […]
  • 2ème fête de l’Eternel : pains sans levain
    Dans Lévitique 23, 4-8, D.ieu nous ordonne de célébrer sept jours, au printemps dans l’hémisphère nord (dans le premier mois de l’année du calendrier hébreu), lors desquels tout levain doit être proscrit, et lors desquels la consommation de pains sans levain revêt un sens spirituel profond. D.ieu à Moise Dieu donna à Moïse des directives précises […]
  • 3ème fête de l’Eternel : gerbe des prémices (l’Omer)
    Pour révéler Son plan de salut pour l’humanité, D.ieu a calqué Ses jours saints annuels sur les moissons au Moyen-Orient (Lévitique 23:9-16 – Exode 23:14-16). Si Son peuple récoltait les fruits de la terre à trois saisons, trois moissons, comme l’indiquent également les jours saints divins, parallèlement, D.ieu récolte en plusieurs étapes la moisson des âmes pour la […]

Jeanine Morisse

Institué en 1961 par Lucien Paye, ministre de l’Éducation nationale, à la suite d’initiatives d’associations d’anciens résistants et déportés, le CNRD est un concours scolaire qui s’appuie sur l’enseignement de l’histoire, de l’histoire des mémoires, de la Résistance et de la Déportation. Chaque année, un thème est défini, pouvant faire l’objet d’un véritable travail interdisciplinaire. Ce concours s’inscrit ainsi dans une démarche d’éducation à la citoyenneté et est une composante essentielle du parcours citoyen de l’élève.

Là d'où je viens Jeanne MorisseLà d’où je viens… Ravensbrück matricule 27781

  • 19,00 (épuisé chez l’éditeur)
Date de parution : mardi 15 janvier 2008

Revient-on jamais de Ravensbrück ? Parfois le corps, mais l’âme demeure marquée par des images, une expérience des limites dont on ne se remet jamais.
Après soixante années de silence, Jeanine Morisse (Niquou) se souvient : l’engagement dans la Résistance, la déportation, le retour en France.
Ce petit livre est une grande leçon de vie où l’amour, la solidarité, la foi, la poésie et l’humour triomphent de la barbarie.

Jeanine Morisse, fervente résistante, devient agent de liaison entre le lieutenant anglais Marcus Bloom, un opérateur radio, et son chef de réseau. Dénoncée en 1943, elle est arrêtée puis enfermée dans la prison de Furgole à Toulouse, celle de Fresnes au sud de Paris avant d’être déportée, en 1944, à Ravensbrück. Cinq mois durant, elle subira l’horreur des camps et sera finalement déplacée à Brandebourg près d’une poudrerie où elle travaille jusqu’à la retraite des officiers allemands en 1945.

Jeanine Morisse dite NiquouJeanine Morisse, épouse Messerli, est une Résistante française née le 19 mai 1921 à Auch (dans le Gers), toujours en vie à ce jour (nous avons pu la rencontrer, chez elle, en mars 2017 et lui montrer le court-métrage que nous avons tourné à partir de ses souvenirs : la rubrique “RENCONTRE” du site revient sur ce moment fort). Elle a étudié aux beaux arts à Toulouse en compagnie de sa petite sœur étudiante en licence de chimie. Sa mère accueillait des Polonais, des Belges, des Luxembourgeois et des Parisiens fuyant les Allemands.  Jeanine Morisse-Messerli décide de devenir résistante avec un groupe d’étudiants le 18 juin 1940, jour de l’appel du général de GaulleElle devient alors agent de liaison entre le lieutenant anglais Marcus Bloom, un opérateur radio, et son chef de réseau. Sa première mission consiste à apporter un poste émetteur caché dans une valise au lieutenant Marcus Bloom.

En 1943, dénoncée, la résistante est obligée de se cacher successivement dans plusieurs petits villages du Gers. Elle est finalement arrêtée en avril 1943 avec son père, également membre de la résistance. Elle est alors emprisonnée dans la prison de Furgole à Toulouse. Le 28 mai 1943, elle est déportée en train jusqu’à la prison de Fresnes (au sud de Paris), où elle reste 8 mois.

 

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